La Sécurité Sociale Alimentaire : Kezako ?
Et si on instaurait une Sécurité Sociale Alimentaire qui rend possible la rencontre des petits paysans et des I.M.M.E.N.S.E.S (Individus dans une Merde Matérielle Enorme Non Sans Exigences) ?
Et si on instaurait une Sécurité Sociale Alimentaire qui rend possible la rencontre des petits paysans et des I.M.M.E.N.S.E.S (Individus dans une Merde Matérielle Enorme Non Sans Exigences) ?
Du 14 au 18 décembre aura lieu la deuxième et dernière semaine des négociations onusiennes sur les directives volontaires sur la nutrition et les systèmes alimentaires à Rome. FIAN suit cela de près afin que la nutrition adéquate soit comprise dans le texte.
Du 17 au 20 février 2020, la Belgique passait son cinquième examen périodique devant le Comité des droits économiques, sociaux et culturels de l’ONU (Comité DESC) à Genève. À cette occasion, les organisations de la société civile ont l’occasion de présenter des rapports parallèles pour mettre en évidence les principaux problèmes et manquements des États. FIAN a saisi cette occasion pour pointer les problèmes au regard du droit à l’alimentation et à la nutrition en Belgique [1]. Cet article fait une synthèse des principaux constats.
L’autrice, militante pour des systèmes alimentaires justes au sein du réseau URGENCI, nous raconte le processus actuellement en cours pour l’élaboration de Directives volontaires sur les systèmes alimentaires au sein du Comité de la sécurité alimentaire. Elle y dénonce également la médicalisation de la faim et les tentatives de « corporate capture » [1] par l’agro-industrie.
Alors que la faim dans le monde augmente de jour en jour, l’UNICEF et l’industrie alimentaire présentent les aliments thérapeutiques prêts à l’emploi (ATPE) comme la panacée au problème. Or, sur un plan structurel, ceux-ci ne changent malheureusement pas grand-chose.
Les Directives sur les systèmes alimentaires et la nutrition, négociées dans le cadre du Comité sur la Sécurité Alimentaire mondiale doivent orienter les États dans leur réalisation du droit à l’alimentation et à la nutrition. Plus elles seront ambitieuses, plus elles seront en mesure de jouer un rôle dans la transformation des systèmes alimentaires vers l’agroécologie, la souveraineté alimentaire et un accès de tous et toutes à un régime alimentaire adéquat et durable.
Le monde des entreprises étant de plus en plus impliqué dans les prises de décisions aux Nations-Unies, 550 organisations de la société civile (OSC), mouvements sociaux et universités remettent aujourd’hui une lettre au Secrétaire général des Nations Unies affirmant le rôle des citoyen.ne.s dans la transformation des systèmes alimentaires.
Du 17 au 20 février 2020, la Belgique passait son cinquième examen périodique devant le Comité des droits économiques, sociaux et culturels de l’ONU (Comité DESC) à Genève. En effet, tous les cinq ans, les Etats qui ont ratifié le Pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels sont invités à présenter un rapport sur l’état d’avancement des DESC dans leur pays et les mesures prises pour assurer leur protection et leur réalisation. A cette occasion, la société civile a l’opportunité de présenter un rapport parallèle pour mettre en évidence les difficultés au regard des DESC et les manquements de la Belgique.
Deze editie van ons magazine Beet the system buigt zich over één van de voornaamste gevaren voor onze democratieën en een belangrijke drempel om de huidige uitdagingen het hoofd te bieden: de steeds grotere invloed van het bedrijfsleven op het overheidsbeleid en onze maatschappelijke keuzes.
Ce nouveau numéro de notre revue Beet the system se penche sur une des causes principales qui sape nos démocraties et empêche de faire face aux immenses défis sociaux et environnementaux actuels, à savoir : l’influence toujours plus grande que le monde des affaires exerce sur les politiques publiques et nos choix de sociétés.
240 organisations de la société civile et 40 réseaux internationaux ont demandé au Secrétaire général des Nations Unies (ONU) de mettre fin à l’Accord de partenariat stratégique de l’ONU avec le Forum économique mondial (FEM) récemment signé. L’appel, lancé dans une lettre ouverte, condamnait l’accord visant à " délégitimer les Nations Unies et à affaiblir le rôle des États dans la prise de décision mondiale ".
In deze nota analyseert artikel 5 over het recht op voedselsoevereiniteit in de ontwerpverklaring van de Verenigde Naties over de rechten van boerinnen en boeren. De analyse bevat de definitie, de verplichtingen van de staten, legt uit waarom dit recht in de verklaring thuis hoort en overloopt de belangrijkste rechten die dit artikel moet bevatten.
In deze nota wordt een analyse gemaakt van artikel 17 over het recht op voedsel in de ontwerpverklaring van de Verenigde Naties over de rechten van boerinnen en boeren. De analyse bevat de definitie van het recht op voedsel, de verplichtingen van de staten en aanbevelingen en aandachtspunten om de versie van artikel 17 in de ontwerptekst te verbeteren.
De VN-verklaring voor de rechten van boerinnen, boeren en andere op het platteland werkzame personen werd eind 2018 door de VN aangenomen. Een sterke meerderheid (121 stemmen voor, 54 onthoudingen, 8 stemmen tegen) stemde voor de verklaring. Aan de stemming gingen vele jaren van intensieve onderhandelingen vooraf. De goedkeuring vormt het hoogtepunt van dit historisch proces.
La Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Paysans et des Autres Personnes Travaillant dans les Zones Rurales, a été adoptée à une large majorité (121 votes pour, 54 abstentions, 8 votes contre) par les Nations Unies fin 2018. Ce vote fait suite à de nombreuses années d’intenses négociations et marque l’aboutissement d’un processus historique.